TNT livre le crâne d’un tyrannosaure en Europe

3 juin 2015

TNT a transporté en toute sécurité le crâne d’un tyrannosaure, appartenant au Centre de la Biodiversité Naturalis (Pays-Bas), et qui a voyagé de l’Institut de Recherche Géologique de Black Hills dans le Dakota du Sud aux États-Unis, jusqu’à l’Institut de Recherche Fraunhofer EZRT à Fuerth en Allemagne.

Le crâne, bien conservé, appartenait à une femelle T-Rex de 66 millions d’années, découverte lors de fouilles dans le Montana en 2013 et acquise par Naturalis en 2014. Le squelette original sera exposé au Naturalis à Leiden, aux Pays Bas, en septembre 2016.

Après son arrivée au Fraunhofer EZRT à Fuerth, le fossile a passé un scanner haute résolution, conçu pour fournir des images radiographiques détaillées en 3D de la structure. Le Centre de la Biodiversité Naturalis et le Fraunhofer EZRT présenteront les résultats de ces recherches au mois de juin.

TNT va transporter le spécimen pour son retour aux États-Unis pendant la première semaine de Juin 2015.

Le crâne de 690 kilos a fait un voyage de 7 800 km en provenance des États-Unis, dans une caisse en bois longue de 1,90 mètre préparée et scellée avec soin. TNT a transporté le crâne sur une distance de 2785 km, du Dakota du Sud à l’aéroport JFK de New York. Le crâne de T-Rex a ensuite pris un vol jusqu’à son hub aérien à Liège en Boeing 747, et a ensuite été transporté par camion jusqu’à Fuerth. Des rapports d’étape réguliers ont été effectués tout au long du voyage. Sur le chemin du retour, le crâne fera escale à Amsterdam pour une émission de la télévision nationale. Le camion TNT utilisé pour le transport est équipé d’un système de tracking à la pointe de la technologie et est conduit par les chauffeurs de « Special Services ».

« Nous sommes fiers d’aider le Centre de la Biodiversité Naturalis en transportant un squelette de T-Rex rare vers l’Europe », a déclaré Grant Cochrane, Directeur Special Services Monde de TNT. « Chez TNT, nous avons l’expertise requise et l’expérience pour livrer des cargaisons très spéciales. Mais c’est la première fois que nous manipulons un objet préhistorique avec une telle valeur pour la recherche ».

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